Des adresses, de ci, de là…
Depuis plusieurs années maintenant, je vis à Villefranche-sur-Saône et je trouve bien des charmes à la « capitale du Beaujolais ».
Avec les « Quatre du Beaujolais », des copains qui ne craignent pas les plaisirs de la table, nous privilégions les retrouvailles gourmandes. Et nous trouvons régulièrement « à boire et à manger » sans problème.
Des adresses gourmandes qu’il n’est pas évident de trouver dans les guides nationaux ou locaux. Ceci expliquant cela, j’ai décidé de proposer ces « Restaurants en Calade et en Beaujolais » à toutes celles et ceux qui savent que la cuisine n’est pas un pêché mais une vertu.
Au fil des pages donc, des adresses où nous n’avons connu aucune déconvenue. Nous avons choisi, déjeuné (parfois dîné), réglé notre addition et délibéré.
Le principe est simple : A-t-on aimé la maison ? A-t-on envie d’y revenir ? A-t-on envie de la recommander ?
Si la réponse est trois fois positive, le restaurant se trouve dans notre sélection. Avec les renseignements pratiques (fournis par questionnaire par les propriétaires), notre commentaire situant l’ambiance et la cuisine, des plats significatifs et des vins exclusivement issus d’un vignoble qui nous est cher et dont toutes les appellations sont de qualité (1) : Beaujolais, Beaujolais-Villages, Brouilly, Chénas, Chiroubles, Côte de Brouilly, Fleurie, Juliénas, Morgon, Moulin à Vent, Régnié et Saint Amour.
Aussi simple que ça. Pas de prétention à l’exhaustivité et aucune porte fermée pour aucun restaurant pour les guides à venir.
(1) L’abus d’alcool est dangereux, à consommer avec modération…
À deux pas du théâtre ce qui justifie le nom du restaurant, Maxime Bordet – parfaitement épaulé par son épouse Chrystèle qui dirige la salle, joue la carte d’une cuisine de… brasserie qui sait rester dans un domaine classique mais sait s’offrir, parfois, quelques belles nouveautés. Service aimable et souriant,
Plus de trente déjà que la maison est à la même place, bien connue des Caladois. Ce fut à l’origine « Le Juliénas » où nous avions eu le plaisir de découvrir la cuisine de Raphaël Neyton, proposée aux clients avec le sourire par son épouse Florence… Aujourd’hui encore c’est un duo…
Il fut, pendant presque six ans, chef au « Calad’In » quand Marion Fessy dirigeait l’affaire. Puis, un jour, Nicolas Guigui a eu envie d’être chez lui. Ce sera chose faite cet automne où l’on pourra venir s’attabler dès cet automne. Dans ce qui fut un bar restaurant, le Chef a envie
Ce fut pendant de longues années « Le Lêve Tôt » où, dès matines sonnantes, les commerçants du marché couvert pouvaient venir en voisins, s’attabler et lever leur (s) verre (s). Cette époque est révolue mais le nom figure encore sur la façade de ce « Family’s Café où Cendrine Vicard a pris
Passé par l’enseignement de l’anglais, Chantal Mortimore a pu concrétiser son rêve, en novembre 2019 : proposer des gourmandises à des clients qui se sentent comme chez eux dans ce lieu douillet et chaleureux. Raison suffisante pour prendre son temps afin de déguster les pâtisseries « maison » ou s’offrir un déjeuner ou
Coucou, le revoilà… Après une belle période au Faisan Doré sur lequel brillait une étoile, Michel Cruz avait quelque peu disparu du paysage gourmand caladois. Pour mieux revenir avec la même qualité de Chef et le même enthousiasme. Même si sa nouvelle maison, bien fréquentée, se nomme « Sur le pouce »
